Oscar de la Renta (2010) Beret de zibeline |
J’ai brièvement abordé les tendances des saisons des Fêtes il y a de cela quelques semaines. Parmi ces tendances, on retrouvait le mélange des matières fluides et satinées comme la soie. Mais ce n’est pas de soie dont il est question ici, mais de la fourrure. Trois petites phrases ont été dédiées à cette matière. Je faisais mention que les fourrures naturelles et artificielles étaient très prisées pour la saison hivernale. Mes observations ont été confirmées lorsque je me suis procurée le magazine Z!NK (zinkmagazine.com) Hiver 2010. Plusieurs designers reconnus, dont Oscar de la Renta (oscardelarenta.com), ont utilisés la fourrure dans leur défilé.
J’adore la fourrure véritable. Riche et somptueuse, elle arrive à transformer une tenue en lui ajoutant un cachet luxueux. On peut la marier avec n’importe quoi, que se soit une robe de soirée qu’un jeans, la fourrure s’avère un accessoire passe-partout très intéressant. Ainsi, son prix parfois exorbitant en vaut la peine. Douce et chaude, elle est idéale pour la saison froide pour les gens qui, comme moi, sont toujours frigorifiés.
Chez Simons, quelques items sont faits de fourrure véritable. Je parle ici d’accessoires comme des moufles, des bonnets, ou des écharpes. Quelques boléros ont aussi été très populaires auprès des clients.
Je me suis donc procurée les cache-oreilles en fourrure de lapin. Comme je viens de le mentionner, j’ai toujours froid l’hiver. Le vent se faufile sous mon bonnet et je me retrouve avec les oreilles rougies. Mais qu’à cela ne tienne ! Avec ces jolis cache-oreilles que j’ai obtenus pour presque rien, je n’ai plus ce problème. Je les mets par-dessus mon bonnet. J’ai l’air de revenir d’une expédition au Pôle nord, mais au moins, je n’ai plus froid. Ce temps-là est révolu !
Qu’est-ce que vous voulez que j’y fasse ?
Je suis désolée de vous l’apprendre, mais la cruauté animale a toujours existé et ce, depuis que l’homme est un homme. Certains diront que dans le temps, ils utilisaient tout ce que l’animal avait à offrir, autant sa peau que sa graisse. Et n’oublions pas sa viande. (Miam miam.) Dois-je vous rappeler qu’ils tuaient quand même ledit animal ? Alors, doit-on conclure à de la cruauté animale ? Je ne crois pas. Depuis la nouvelle mode eco-friendly, j’ai l’impression qu’on abuse du terme et qu’on accuse à tord ceux et celles qui profitent pleinement des ressources que la terre a à nous offrir.
Je n’encourage pas la cruauté animale. Je dis simplement qu’elle existera toujours, quelque soit les mesures employées pour tenter de l’éliminer. Et personnellement, je n’ai pas la force de me battre pour une cause aussi désespérée. En fait, je n’ai pas envie de me battre, point. Let it be, my friend.
Mais finalement, je m’en fous complètement. Les autres peuvent bien penser ce qu’ils veulent. Ils peuvent continuer à manifester contre mon choix de vie, à essayer de me convaincre de rejoindre leurs rangs, moi, je ne fléchirai pas. La fourrure, je vais en porter. La viande, je vais en manger.
Live with it.
Peaux de zibeline Source: wikipedia.org |
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